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Le séminaire annuel de restitution de l'OHMi Téssékéré se tiendra le 26 novembre 2014 dans la salle de visioconférence de la faculté de médecine de l'UCAD. Durant cette journée, les résultats des recherches (financées par l'OHMi et le Labex DRIIHM) en 2013 seront exposés.
Le programme de la journée sera disponible prochainement.
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L’Afrique nourrit-elle de grandes ambitions écologiques ? Initiée en janvier 2007 sous l’impulsion de 11 pays sahélo-sahariens, la Grande muraille verte (GMV) désigne le vaste projet panafricain qui prévoit de dresser un véritable voile verdoyant déployé sur 7 600 kilomètres de long et 15 kilomètres de large, du Sénégal à Djibouti, afin de juguler l’expansion du Sahara et d’enrayer la sécheresse qui sévit en Afrique subsaharienne. L’idée a été approuvée en 2005 par l’Union africaine qui avait notamment salué les efforts de sauvegarde de l’environnement entrepris par le président nigérian de l’époque, Olusegun Obasanjo (1999 – 2007). Outre l’aridité endémique à laquelle doivent faire face les populations depuis près de trois décennies, la désertification, dont le terme doit être ici compris comme une dégradation des sols due à l’insuffisance des précipitations, paralyse davantage les habitants de la région.
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Le Sahel fascine par la beauté de ses paysages et la vie de ses peuples. Pourtant, cette région se dégrade. Ce qui était jadis une terre verdoyante et nourricière est devenu un espace désertique qu’hommes et troupeaux parfois traversent à la recherche d’eau ou de nourriture. Aujourd’hui, les États et les sociétés doivent s’unir pour apporter une réponse à cette métamorphose. Ambitieux, le projet panafricain que représente la Grande Muraille verte vise à lutter contre la désertification, processus accru par nombre de facteurs – manque d’eau, surcharge pastorale, coupe du bois…